Plan de gestion de l’herbe

Notre commune et nos jardins…sans pesticides.

 « ZERO PHYTO »

Les produits phytosanitaires regroupent les herbicides (contre les « mauvaises herbes »), les insecticides (contre les insectes), et les fongicides (contre les champignons). Ils sont présents dans l’eau, l’air, le sol et les végétaux. Leur utilisation peut engendrer des risques.

La suppression des pesticides pour l’entretien des espaces verts et des voiries permet de préserver :

  • notre santé,
  • la qualité des rivières et des nappes phréatiques (notre source d’eau potable),
  • la biodiversité.

Les pratiques utilisées par les agents techniques :

  • le désherbage manuel, mécanique, thermique ou le paillage.
  • les fauches tardives,
  • l’association de plantes qui se protègent entre elles contre les ravageurs
  • l’installation de nichoirs à oiseaux et cabanes à insectes ou conservation des refuges naturels pour les insectes »auxiliaires », utiles pour détruire les parasites.

Dès à présent, adoptez les bons gestes ! Plutôt que d’utiliser des produits nocifs, optez pour un jardinage au naturel.

 Nouvelle législation  en vigueur depuis le 1er janvier pour les particuliers https://www.jardiner-autrement.fr/loi-labbe-quelles-implications-pour-les-jardiniers-amateurs/

 Fleurissement des pieds de murs

 

Depuis plusieurs années, la mairie de propose de participer au fleurissement des pieds de mur.

A quoi cela sert-il ?

Au-delà du fait de végétaliser et d’embellir les façades, les objectifs sont :

  • de renforcer la présence de la nature dans notre commune,
  • de limiter l’imperméabilisation systématique des sols,
  • d’améliorer l’épuration de l’air et donc sa qualité,
  • de ne plus du tout utiliser de désherbant.

Comment vous inscrire pour le printemps PROCHAIN ?

Tout simplement, en vous faisant connaître en mairie.

Il faut savoir que les employés municipaux sont en charge d’effectuer la préparation du terrain, les plantations et l’arrosage la première année. Puis, l’entretien sera fait par les habitants.

 

Pourquoi donc, ne pas «planter plutôt que désherber » ?

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